lundi 20 juillet 2009

"Ce gamin il est insuportable" "tu [est] nul ...zéro en dictée" "Vas y !... (le pour le rendre plus humain ?:()" "Pas sur la tête, pas sur la tête..."


Photo, an : 69 ? Photographe ?

La fable d'un homme violé ?

Il était un joli Chasseur,
Qui se trouva une jeune dame,
Mariée, ce qu'il ne su vraiment.
à militaire en missions lointaines.

Le jeune homme était romantique,
Et ses expériences assez limitées,
Le voilà en débat amoureux, puis,
Au sol sur sa peau douce et belle.

Action... tout en classique,
D'un coup sans dire, tel un viol,
Dans la relation en missionaire,
D'un coup lent mais sans hésistation,
Elle lui déflora son Anus affollé...

Dans la surprise de incompréhention,
Le soldat fut dans un sentiment,
Mitigé un instant, puis le rectum,
A accepté cette carresse douce,
Mais d'une petite sadienne.

Le poulain pris ainsi par cul,
Elle lui activant le derriere,
Elle montra un chemin de plaisir,
Nouveau, qu'il n'oublia pas.

Mais il y eu des tromperies,
De la vie ! par une blainoragie*,
Des sexes aux autres,
Ce fut terrible les jours suivants.

Avec le recule il se demanda,
Si il y avait pas eu un viol,
Non ! elle l'avait dépucelé,
Dans une douleur masculine...

Le temps fut celui de l'infirmiere,
Elle en sade ?
Avec fil de Platine,
Lui labourant l'urêtre,
Par violence du bout rond en fer,
De l'acier platiné de l'ance.

Il cru mourrir de douleur,
A la premiére pénétration,
Il cru péri de terreur,
A la seconde...puis...
Un désespoire...

Il La supplia,
de toute les maniéres,
Par les yeux, le corq,
et les mots.

Et pour ce prélévement,
Elle incista et encore plus,
Et Plus, encore que mal,
Ce viol est ...insuportable.

Ce viol c'est,
un supplice "horrible"...
Il est pas que du sexe.

De la douleur de la chaude,
Ce rajoutta une douleur,
D'une Pisse sablée et enfin,
La torture de la ramoneuse...

A l'armée on ne se plaint,
Et quand bien méme,
Il assuma...,
Cette absurdité.

Et le temp étant passé,
Il fut dans l'idée, qu'elle fut,
d'un satanisme de vengance
ou puritaine et criminelle.

A la mémoire des années,
son supperbe doigt,
Donna
Un grand bonheur.

Sa chatte, fut merveilleuse,
Un moment, Puis douloureuse,
A en serrer les dents,
Pendant quelques jours.

La préleveuse métalique,
Pénétrante en ravageuse,
Au .F, fut terrifiante,
A en perdre tout les sens.

Et la saloppe ne fut pas la cochonne.
Et il parrait qu'il n'attend que ça,
Un index bien féminin et doué d'amour,
Qui l'appelerait en signe,
"Happy X et Y"...

Le viol peut être,
un supplice "absolue",
de désespoir,
Il est pas que du corp...

EL,.T

*http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_454_blennor_gonoco.htm

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