samedi 8 août 2009

Le journal "Le Monde" à besoin d'un écologiste pour arrêter de raconter des histoires en délire à ses lecteurs


Leçon de chose pour mon savon à l'INRA :
Saumon Atalantique
NL : Salmo salar F : Salmonidés N.C : Tacon, tocan pour les jeunes ; parr-smolt, smolt pour les jeunes en dévalaison ; saumon argenté, vif- argent pour les saumons de montée ; madeleineau pour les petits saumons de monté ; saumon bécard, charognard, kelt pour les vieux saumons (bécard désignant une forme de machoire trés particuliére carractére de grosses truites et de mer aussi) N.E. : parr, smalt pour les jeunes ; grilse, kert pour les adultes, petits ou gros (Angl.)
jusqu'à 1.3 m, P. jusqu'à 23 kg.
Le corqs, trés fuselé, est une merveille d'hydrodynamisme. La BOUCHE est moins fendue que la truite.
De toute façon , au stade adulte, la distinction avec celle-ci n'a jamais posé un seul probléme aux pêcheurs de saumon ou truites, sauf aux Stagiaires en cravate de L'INRA.
Il n'y a pas de taches rouges en dehors des périodes de reproductions, mais de petits point noirs comme les tuites de lacs et d'espéces américaines.
Son corp est argenté, les écailles bien visibles.
Au stade adulte le confondre avec une truite de mer dans les rivéres où les deux espéces cohabitent est possible pour un néofite ou un enfants quoique !
La truite de mer à un pédoncule caudal COURT, LARGE, une caudale "RECTILIGNE", des écailles petites...
La nature ne ment pas en propagande de ministére de l'écologie ou de grande compagnie des eaux et d'agence trop couteuse et souvent peu utile pour les contribuables et la qualité des riviéres de France. Elle ont été crée il y a trente ans et depuis trentes ans les eaux de France ne font que se dégrégrader, cherchez l'erreur.
Alors ce poisson n'est pas saumon, ni un omble, encore moins un huchon, et pas une truite de mer "européenne" non plus.
Ce poisson, qui peut être le poisson d'une vie pêcheur est une "truite arc-en-ciel" qui peut être de mer ou ayant grossi en lieu assez oxygéné du bassin de la seine sous une écluse ou un barrage par exemple.
Les gros spéciments étant moins éxigent sur la qualité de l'eau pour leur [survie] et en tant qu'ancien pêcheur au toc de Truita fario sauvage des ardennes Belges peu pollées, un saumon, j'imagine n'aurais pas de meilleure défense au bout du fils dans un grand courant entre renoncule flottante et rochers de schiste.
C'est une "variante" d'une Salmo gaidneri F.: salmodidés et ce poisson n'est pas d'origine européenne, mais d'amérique du nord.
L'espéce a été introduit depuis le début du sciecle dernier en vue de palier à la disparition progressive de la truite commune et de lac des eaux européennes par préssion de la pêche, aussi sportive et surtout par la dégradation des biotopes, des cours d'eau de premiére catégorie, surtout de la polution des eaux, et la destruction des partie sauvage des grandes riviéres courantes et la rupture systhématique des possibilité de migration pour la réproduction, des petits ruiseaux aux fleuves.
Donc la truite arc en ciel est souvent du poisson dit de bassine pour pêcheur d'ouverture en mal de poisson affamé et facile de suppermarché à tout prix.
La truite arc-ciel à l'avantage pour le pisciculteur de grossir plus vite et d'^tre plus résistante à une moindre qualité des milieux aquatiques.
Elle est moins exigence notament concernant le taux d'oxygéne dissous que ses soeurs europénnes.
Ces TRUITES grossissent souvent dans des bassins sans courrant et sont "sans" muscles et grasses, parfois elle n'ont méme plus de véritable nageoire.
Lors des déversements en riviére, elles dévalent rapidement dans les courants et rarement redeviennent des poissons "sauvages" adaptés à une vie naturelle, si elles arrivent à se nourrirent et pas mourirent "en cherchant désespérément dans la nature des granulés pour les cochons".
Comme la truire fario (de riviére, de lac ou de mer commune d'europe) l'arc-en-ciel est un poisson migrateur anadrome possible et en mer c'est un poisson qui reste cotier, une différence avec le saumon.
Pour la reproduction les truites de mer remontent comme les autres les cours d'eau vers les frayéres en graviére de ruisseaux aux eaux pures et fraiches.
Les truites Arc-en-ciel dévallent parfois jusqu'à la mer, elles sont méme parfois de souche migrante marinne et il possible qu'elles remontent donc des cours plutôt cotier en général poussées par leur physiologie reproductrice, mais inutile.
Mais, car il à un mais, car !
Le(a) Salmo Gairdneri, ne se reproduit en France, à [l'exception] de quelques que zone trés précises parrait il.
Le poisson de cette photo est à coup certain une truite arc-en-ciel d'origine d'élevage, mise en bassine dans un cours d'eau de Normandie pour une journée d'ouverture sans truite sauvage ? qui descendu vers la Manche ? a trouvé plus oxygéne et nourriture plus facile qu'au fleuve pollué de la Seine. La truite sauvage mange notamment des vairons et les vairons on peut les chercher, ils ont presque partout disparus, elle a bien grossi, mais les grosses truites vivent normalement dans un biotope de qualité dans les parties courantes des riviére, de plaine aussi et peuvent y atteindre dix kilos de poid, mais les poissons de bassinne ancien reporducteur de pisciculture font parfois plusieurs kilos !.
Ce poisson c'est donc sans doute, perdu en remonté improbable et impossible de la seine.
Les indices biotiques et par les poissons (plus aléatoire mais complémentaire, le poissons étant plus mobile) sont de bon indiquateur de la qualité des cours d'eaux sur le moyen terme passé, plus représentatif que les indices chimiques ou diatomiques, y a t'il de maniéres significatives méme localisé des lamproies de planer ou autres, des loches, de la lotta lotta, de l'ombre ou chabot dans la Seine de deuxiéme catégorie "certainement non" en aval de l'Aube et méme de simplement de l'ablette "vrai" des gougeons de grande taille (+ 15 cm) ainsi que les vairons des enfances de toute les campagnes de France des années 70.
De plus ces indices sont modifié depuis trente ans commes en éffacement des statistiques pour le calcul du nombre de chômeur.
Les français doivent certain que l'eau est aussi saine que les finances publiques et que les cours de la France sont de bonne qualité, tout va bien madame la ministre et messieurs les conseillers, mais personne ne se baigne à Paris Plage ou à nogent sur Marne, depuis si ...longtemp, ni dans la meurthe de Nancy, la moselle de Pont saint vincent ou La Semois de Florenville. Pourtant quel plaisir si les parisien(ne)s aprés le travail et les touristes pouvait allez baigner dans des piscines naturelles gratuites de seine et marne, des salmonidés sauvages pourraient vivre en basse Seine localement dans des courants et les marchands de cachetons feraient moins de bénéfice et polluerait moins les esprits donc moins les riviéres...On fabriquerait plus de canne à pêche pour les enfants de france, des canoés, des skis nautiques et des toboggans aquatiques...ou des bateaux de plaisance pour maison secondaire heureuse de retraité(e) nageuse ou pêcheur...
Toute cette clique de menteur, de voleur de nature et d'incapable en vérité trop grassement payé m'écoeure.
Ils sont les responsables principaux de la destruction de la France par leur lâchetée et leur besoins de sécurité de fonctionnaire générant des rapports d'encres dégoulinants pour leurs petites petites promotions ou des bénéfices faciles de leurs "copains" politique ou d'entreprises non écolisgiste de l'environnement finalement uniquement "financier". Est ce cela que des grands hommes et femmes d'état d'europe et du monde doivent continuer à entretenir pour le bonheur de nos avenirs et celui de nos enfants ?
EL,.T Bac + un en speudo ichtyologie d'étude personnel en traité de pisciculture de 700 pages en livre de chevet d'internat, mais compétant en vérité de la nature, de l'homme aussi !

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