mercredi 17 juin 2009

Le beurre d'olive et les épinards, le ndollé et le ga là*... ! (version r.c)


Lettre personnelle aux généticiens et à leurs entreprises

les entreprises de biologie végétale sont dans une impasse et une erreur stratégique, trop rationnellement non naturel et de court terme.
Leur avenir est dans la production de plante génétiquement modifiée par croisement ou greffage par des techniques naturels améliorées "ecobiotechniquement" in vitro quand les moyens naturels sont trop complexe à mettre en oeuvre.
La création de graine ou de plante par amélioration naturelle comme le fesait dans les année soixante dix, un leader français "Graine Clause"... ne remet pas en cause la pérénité des investissements de grande entreprise de biotechologie végétale sur le moyen terme mais simplement une adaptation de leur instalation et de leur concept globaux en terme d'écologie.
Par ailleurs nombres de plantes sauvages sont en voie de disparation, on en connait souvent méme pas les qualités et elles doivent être sauvée par leur préservation génétique ou grainiére ainsi que par leur multiplication in vitro pour leurs réintroductions, si elle est souhaitée et souhaitables...
Les applications en bioécotechnologie sont vaste mais la génétique par la transgenese a vocation de production pour l'agriculture, l'algoculture, la myciculture et l'horticulture...etc, doivent être interdite par traité internationnal, pour ne pas finir par faire des monstres incontrôlables qui se développeraient en pire des rares exemples de cas plus naturel, tel la Caulerpa Taxcifolia en méditéranée qui est due à son aclimatation... involontaire et au réchauffement climatique résultat d'autres absurdités humaines.
Toutefois pour les maladies rares, grave et génétiques humaines, si la solution est la production de médicament via modification de végétal [stérile] multiplié in vitro. Elle est acceptable par la création et la production [uniquement] de calles céllulaires végétaux et uniquement en lieu clos, voir, hermétique et isolé et sans systéme racinaire ou foliaire...
Et c'est à mon bon sens de cul terreux... le seul avenir pérénne de la génétique technologieque comme la trangenese...des productions de niche, à but médical, ou cosmétique et cela pour ne pas dénaturer la nature qui c'est construite sur des milliards d'année par une évolution par trés lente mutation pour les organismes suppérieurs que je pense de sagesse...
Quand au brevetage de plante, il devrait concerner que les calles de concept biotechniques qui ne doivent jamais pouvoir se multiplier dans la nature...
Les génes naturels dont ceux des plantes, des champignons et les animaux ne sont ni à Bayer , ni à Monsanto, ni à personne en intéret particulier, Ils sont à l'humanité entiére et il devrait y avoir des banques nationnales et une internationnale de preservations des espéces et des génes naturelles pour préparer l'avenir de tous et sous la responsabilité de la communauté scientifique internationnale et des états.

EL,.T

A la mémoire de ma grand mére paternelle, Simone Thierion, croyante et dont son Jardin de Petit Verneuil était un exemple si naturel, dans une trop grande et dure rigueur parfois et qui à été jeune la petite main de mon grand oncle que je n'ai pas connu mais dont j'ai lu certain des travaux pour mes études, Roger Gautheret Ancien de l'académie des Sciences Françaises et j'ai une pensée pour Marie rose et la chercheuse belge qui m'a appri les techniques de la culture in vitro, aussi à Monsieur Duccaté mon trés bon professeur à l'ancien IETSE d'IZEL qui m'a enseigné entre autre un peu de génétique végétale, matiére qui n'était vraiment pas ma tasse de thé mais que j'ai compris suffisament.

A mon pére et mon Grand pére paternel que j'ai trés peu connu à Nogent sur Marne, ma grand mére me disait en radotant "ton grand pére disait : le progrés tura l'homme" il est mort il y a environ quarante ans d'un cancer du poumon comme plus tard mon pére et que l'on ne guéri toujours pas...où sont tous ces fabuleux progres, il y a d'année en année de plus en plus de cancers.

*leggaga ? : pour le Kiswaheli de mes cousin(e)s Belges et pour celui qui en cultive l'été... en Gaume.

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